Ile de Pâques

Peinture à l’huile sur photo

“Ce jour je vois le visage
que hier encore je peignais.
Cher souvenir
d’il y a très longtemps.”

Ces photos furent prises par Mirjam Geirmaert au cours de son voyage aux Iles de Pâques. Ces îles avec leurs immenses statues de pierre, lui firent une telle impression, que quelques années plus tard, elle mit ses émotions dans un récit destiné à un film relatif aux femmes qui cherchent leur voie.

Vu que j’adore peindre sur des photos, je lui ai demandé de pouvoir les utiliser pour réaliser des scènes qui se passent sur les îles, à la façon d’un architecte ou d’un designer qui dessine en premier lieu une maison ou une voiture. De cette manière j’insufflais aussi de la vie dans le film.

Vivant dans ce scénario, j’essayais de m’imaginer le centre de la terre, c’est la pierre centrale des pierres qui sont liées aux anciennes et puissantes énergies, avec les accès et avec des œufs d’oiseau. De grands et étranges oiseaux reconnaissent ces énergies, les nourrissent de leurs sons et les fécondent.

C’est ainsi que naquit l’homme-oiseau. De même les statues immortaliseront ces lieux énergétiques. Quand les champs magnétiques des planètes changeront – comme lors d’une éclipse – les statues s’allègeront en inversant leurs pôles.

Les portes dimensionnelles s’ouvrent, la mémoire collective est activée et une grande association avec la source créative universelle, l’échange sublime avec le cœur cosmique.

“Les statues de l’Ile de Pâques pourraient renaître ?
Les statues masculines pourraient-elles être fécondées
par de l’énergie féminine ?
Les portes du ciel s’ouvrent.  Reconnaissance.“